S6 - Annexe technique

Juste deux points importants en itinérant au Sénégal, comme, en fait, souvent ailleurs, comme par exemple en bateau :
L'eau et l'éléctricité.

L'eau.

On trouve de l'eau minérale quasiment partout, mais ... en emballage plastique ! En bouteille et dans ces fameuses petites poches plastic qu’on trouve partout. Je parle des poches plastic vides, hélas car pleine, il faut quand même aller dans une boutique !

Le plastic jetable pour l’emballage est à abandonner au maximum d’une façon générale, et je le banni au maximum de mon quotidien depuis pas mal de temps. Il est, de plus, une calamité au Sénégal. Je suis parti avec une bouteille plastique solide et des pastilles de purification d’eau. L'eau etait donc de l'eau de recontre (robinet, puit). Je sais, c’est de la chimie. Il existe des gourdes-filtres certainement très efficaces. Elles ont un coût maintenant abordable mais je n’ai pas encore franchi le pas. Cela se perd, se casse et au Sénégal c’est un objet encore « étranger ». Comme je voyage le plus « Local » possible, je privilégie les solutions locales, même si, d’un point de vue occidental, c’est n’est pas « l’idéal ». J’ai donc réussi à ne pas boire une seule goutte d’eau venant d’emballage plastique jetable, même (et surtout) quand on m’en offrait.
Voici donc l’héroine de cette bataille de l’eau. Je suis parti avec, et rentré avec ! 

L’électricité.

Dans les villages, il n’y a pas toujours de l’électricité. Même pas de quoi charger le téléphone qui est devenu tellement indispensable pour tant de choses. Cette batterie externe permet deux à trois recharges. Côté panneau solaire, c’est du très très faiblard, il faut le reconnaitre. Grace à elle et une gestion relativement économe (il me reste une marge de progression de ce coté-là), je ne suis jamais retrouvé à court de façon critique.

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